Risques d’entreprises : Louis Bollaert rejoint Descartes Underwriting

mercredi 23 novembre 2022

Descartes Underwriting annonce l’arrivée de Louis Bollaert comme chief revenue officer (CRO). En parallèle, Violaine Raybaud est promue au poste de chief operating officer (COO) de l’agence de souscription.

Descartes Underwriting muscle ses équipes avec l’arrivé en provenance d’Aon France de Louis Bollaert comme chief revenue officer. Ce dernier aura notamment « la responsabilité de l’expansion de la gamme de solutions proposées afin de protéger de nouveaux segments de clientèle », peut-on lire dans un communiqué.

Diplômé de HEC Paris, Louis Bollaert à débuté sa carrière en 2004 comme auditeur interne puis comme chef de projet chez Bouygues Telecom. Il intègre Euler Hermes en 2008 au poste de responsable produits et services avant d’être nommé directeur commercial grand courtage. En 2014, il prend la direction de la distribution et des partenariats de l’assureur-crédit, avant de rejoindre l’année suivante Aon France où il occupait depuis la fonction de directeur assurance-crédit, financement, risques politiques, caution et solutions M&A.

« Nous sommes heureux d’accueillir Louis au sein de de l’équipe afin de continuer à développer notre gamme de produits et à travailler étroitement avec les courtiers qui doivent faire face à un environnement particulièrement difficile », explique pour sa part Tanguy Touffut, co-fondateur et président de Descartes.

Une nouvelle COO

En parallèle, le MGA spécialiste de l’assurance paramétrique, nomme Violaine Raybaud comme nouvelle chief operating officer. « En tant que COO, je me réjouis de mobiliser nos équipes et nos moyens techniques afin d'insuffler davantage de technologie et notre approche centrée sur les clients au sein de nos divisions finances et opérations », déclare à ce titre l’ex-directrice commerciale.

Fondée en 2018 et positionnée sur les risques liés aux catastrophes naturelles et aux conditions météorologiques extrêmes, Descartes Underwriting indique pouvoir fournir - via son panel de porteurs de risques - une capacité de 200M$ par police.