Cercle Distribution

Quel canal de distribution est le plus rentable ?

DOCASS
Interview

La question « Quel canal de distribution est le plus rentable ? » a évidemment suscité un fort intérêt de la part de l’ensemble des dirigeants du secteur de l’assurance. Cette question incontestablement simple dans sa formulation ne demeure pas moins un sujet « sensible » et très complexe dans la réponse que l’on peut y apporter tant les sous-jacents sont nombreux.

En effet, dans un monde en pleine mutation, notamment technologique et sociétale, les interactions commerciales entre les assureurs et les assurés au travers des (très) nombreux canaux de distribution - spécificité française - sont indéniablement croisées, complémentaires et donc difficiles à mesurer d’un point de vue financier.

Aussi, nous avons cherché à identifier les variables composant le compte de résultat de la distribution, pour ensuite faire un focus sur l’omnicanalité et l’expérience client qui sont aujourd’hui tous deux au cœur de la stratégie des acteurs.

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Cercle Dommages

Enjeux climatiques - entre données, triggers et tiers de confiance, quels nouveaux mécanismes d’indemnisation ?

DOCASS
Interview

Face à l’accroissement des risques climatiques, la France a développé un modèle unique de gestion et de prévention des catastrophes naturelles. Les pouvoirs publics y jouent un rôle déterminant, en particulier à travers un régime d’assurance structuré autour de principes de solidarité et d’universalité. Contrairement à ses voisins européens, la France se distingue par l’efficacité de son régime d’indemnisation des catastrophes naturelles, bien que ce dernier soit de plus en plus mis à l’épreuve par l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des événements climatiques.

Cependant, malgré son efficacité prouvée, le régime Cat Nat soulève plusieurs questions et défis, notamment en termes de soutenabilité financière et de conditions d’attribution. Les surprimes sur les contrats d’assurance d’habitation et automobiles vont augmenter significativement à partir de 2025, une première en 25 ans, pour répondre à l’augmentation des sinistres climatiques dont le coût a explosé ces dernières années.

Ce contexte soulève des enjeux cruciaux concernant la prévention et l’adaptation aux risques climatiques. En dépit des efforts considérables en matière de mutualisation des risques, certaines régions, notamment en Outre-Mer, demeurent particulièrement vulnérables. Les pouvoirs publics, les assureurs, les réassureurs, ainsi que les collectivités et les assurés doivent collaborer étroitement pour renforcer la résilience face aux aléas climatiques. Des initiatives comme le Fonds Barnier, destiné à financer des mesures de prévention, ou encore les Plans de Prévention des Risques Naturels, jouent un rôle essentiel mais restent sous-utilisés.

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Cercle Epargne & retraite

Mettre en œuvre un ANI de la retraite

DOCASS
Interview

En France, le système de retraite par répartition est régulièrement remis en cause et comparé à d’autres systèmes existants chez les pays voisins, qui adressent l’enjeu du vieillissement de la population à travers divers systèmes (par capitalisation, mixte..) et des réformes successives, plus ou moins couronnées de succès. La viabilité financière du système de retraites soulève la question, non moins cruciale, de la garantie du maintien du niveau de vie des retraités. L’enjeu est notamment de taille pour les populations salariées (représentant 88% de la population active), qui bénéficient d’un taux d’équipement relativement élevé (74%) mais dont les niveaux des pensions ne permettent guère un pouvoir d’achat suffisant pour les salaires les plus modestes. Des idées émergent, comme celle d’un accord national interprofessionnel (ANI) de la retraite, au même titre que pour la santé, l’épargne salariale ou la prévoyance.

Rendre obligatoire pour les entreprises une épargne retraite supplémentaire est une démarche pouvant paraître audacieuse, car pouvant impacter la compétitivité des entreprises et partant du principe que cette dernière réalise suffisamment de profits. Quelles sont les mesures prises dans les autres pays pour inciter les populations à épargner pour leur retraite, notamment chez nos voisins de l’UE ? Quelles réformes et quels leviers ont-ils adoptés, et lesquels pourraient être adoptés en France ? Quels seraient alors les grands éléments constitutifs de l’ANI de la retraite, et quels obstacles sont à prendre en compte ?

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Cercle Grands risques

Appels d’offres / Renouvellements : Comment fluidifier et homogénéiser le partage d’informations entre courtiers, assureurs et risk managers ?

DOCASS
Interview

Alors que la donnée a longtemps été considérée comme un véritable atout concurrentiel ‘non partageable’, les acteurs du marché de l’assurance ont pris conscience que son partage était devenu un enjeu majeur pour développer le business ou le sécuriser. Le Cercle Grands Risques s’est donc réuni cette année autour des problématiques de partage et d’homogénéisation de l’information lors des phases d’appel d’offres et de renouvellement.

La qualité et la fiabilité des données sont en effet essentielles dans l’analyse des portefeuilles des acteurs du secteur, dont les enjeux majeurs sont d’optimiser la tarification et d’évaluer la sinistralité. Dans ce contexte, faciliter et uniformiser les échanges d’informations entre les divers acteurs (courtiers, assureurs, responsables des risques, réassureurs) est un enjeu majeur. L’une des principales pistes identifiée est la standardisation des échanges de données, qui permettrait à la fois d\'améliorer la rentabilité technique, d\'optimiser la gestion des risques et de faciliter la communication entre les divers acteurs.

Ce sujet a permis d’aborder les points de vue des acteurs et les avancées technologiques et également de présenter des solutions novatrices offertes par des start-up et des initiatives sectorielles pour surmonter les difficultés rencontrées dans la gestion de l’information.

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Cercle Marketing

Comment valoriser les services proposés dans les contrats ?

DOCASS
Interview

Dans un marché en pleine mutation, toujours plus concurrentiel et règlementé, il apparaît aujourd’hui de plus en plus complexe pour les assureurs de se différencier à travers leur cœur de métier avec une forte standardisation des produits et des garanties proposés. De plus, les modalités de gestion industrielle, les promesses clients comparables et la pression règlementaire ne laissent que très peu de marge de manœuvre.

Les leviers de différenciation et de fidélisation client sont donc limités et plusieurs tendances de marché invitent à repenser la place des services dans la stratégie des assureurs. Et ce, pour plusieurs raisons. En premier lieu, le marché peut sembler saturé et il existe peu d’innovations sur les produits d’assurance, qui sont plutôt le fait des pure players sur un type d’assurance ciblé.

Ensuite, la gestion « pure » ne constitue plus un levier de différenciation pour les assureurs. Par ailleurs, l’offre actuelle est faiblement modulaire et fonctionne principalement dans une logique d’inclusion des services. Enfin, les assureurs proposent souvent une multitude de services qui sont peu connus ou consommés par les assurés, qui disent les apprécier mais ne sont pas prêts à les payer.

À l’aune de ces constats, le Cercle marketing et relation client a souhaité alimenter les discussions autour de ce sujet crucial : Les services doivent-ils être placés au cœur de la stratégie des assureurs ? Une problématique qui incite à réfléchir à des éléments clés de l’activité et du business model des assureurs, pour concevoir une stratégie de services ambitieuse :

  • Quels services proposer ?
  • Jusqu’où l’assureur peut-il être légitime ?
  • Quel modèle de rentabilité autour des services ?
  • Comment valoriser ces services auprès des clients ?
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Cercle Prévoyance

Comment mieux couvrir les salariés et les travailleurs non salarié en prévoyance ?

DOCASS
Interview

Le rapport 2022 de France Assureurs révèle que le marché de la prévoyance en France totalise 26,3 milliards d’euros de cotisations, dont 55% pour la prévoyance collective. Ce secteur a connu une croissance régulière, avec un taux annuel de 4,2% de 2018 à 2022 pour la prévoyance collective et les contrats Madelin, ainsi qu’une amélioration de son équilibre technique en 2022, avec un ratio sinistres/primes (S/P) de 53,2%. Le marché collectif, bien que dynamique, affiche un fort taux d’équipement de 91%, masquant des disparités selon la taille des entreprises, le secteur d’activité et le statut des salariés.

En particulier, les très petites entreprises (TPE) et certains secteurs comme l’agriculture et les transports sont moins bien couverts. La situation résulte des négociations de branche qui ont permis d’étendre les couvertures, y compris aux salariés des petites entreprises. Cependant, la prévoyance reste moins couverte que l’assurance santé, malgré son importance. En effet, seulement 80% des salariés du secteur privé bénéficient d’une couverture prévoyance contre 96% pour la santé.

Les travailleurs non-salariés (TNS) affichent un taux de couverture encore plus bas, entre 30% et 50%, révélant une insuffisance préoccupante. La méconnaissance des dispositifs et des risques associés, ainsi que la complexité des produits, freinent la souscription. Le manque d’information et de sensibilisation des individus et des entreprises contribue également à cette situation. Le coût de l’absence de couverture prévoyance est estimé à 15 milliards d’euros, affectant lourdement les individus et la société. Il apparaissait dès lors primordial pour le Cercle Prévoyance de se pencher sur les leviers destinés à mieux couvrir les salariés et les TNS en prévoyance.

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Cercle RH

Comment favoriser l’attachement des collaborateurs à l’entreprise, dans un contexte d’évolution du rapport des Français au travail ?

DOCASS
Interview

Le rapport au travail est complètement bouleversé. Ce contexte impose de repenser la relation entre l’entreprise et ses collaborateurs. Toute entreprise veut mettre en œuvre ce qui lui permettra d’attirer et de générer un attachement renforcé. Le challenge n’est pas inatteignable ! Mais cela suppose de ne pas se tromper de diagnostic et de déployer une réponse complète.

Les chiffres de la DARES montrent que le pourcentage de démissionnaires (2,1% par trimestre dans les entreprises de plus de 50 salariés) est certes un peu plus élevé que dans la période précédente, mais qu’il n’est pas inédit au regard de son caractère cyclique. « La grande démission est un mythe », écrit l’Institut Montaigne. Quiet quitting ? 77% des salariés estiment faire plus que ce qui est attendu d’eux, 21% ce qui est attendu d’eux et 2% parfois moins (source : enquêtes IFOP).

Dans les prises de position actuelles sur le rapport au travail, les approximations sont nombreuses, avec des notions simplistes et non conformes à la réalité qui génèrent de l’emballement. Cela n’aide pas à poser un diagnostic pertinent et à agir efficacement sur l’attachement des collaborateurs à leur entreprise.

Alors quel diagnostic peut-on faire sur les évolutions de l’attachement des collaborateurs à leur entreprise ?

  1. Ce n’est pas le travail en lui-même qui est en cause : 84% des salariés considèrent que le travail est important, même si le refus de sacrifier sa vie extra-professionnelle a grandi.
  2. Il n’y a pas de désinvestissement des collaborateurs dans leur activité, au regard du pourcentage élevé qui estime faire plus que ce qui est attendu d’eux.
  3. Ce qui se joue chez de nombreux salariés relèverait plus d’une distanciation par rapport à l’entreprise, croissante depuis plusieurs années.
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Cercle RSE

Comment mieux diffuser la culture RSE au sein des entreprises de l’assurance ?

DOCASS
Interview

Pourquoi diffuser une culture RSE au sein des entreprises ? De prime abord, la réponse paraît simple. Une équipe RSE ne peut porter seule les enjeux environnementaux et sociétaux auxquels les entreprises font face. À plus forte raison quand l’urgence commande d’accélérer sur ces sujets.

Dès lors, c’est l’ensemble des membres d’une entité qui doit être mobilisé pour engager sa transformation nécessaire afin de répondre aux défis environnementaux et sociétaux. Pour que la RSE soit portée par tous, il faut l’inscrire dans la culture de l’entreprise. Et par voie de conséquence, diffuser une culture RSE. Ce fut tout l’enjeu des travaux du Cercle RSE lors de cette saison de réflexions.

Mais avant toute chose, de quoi parle-t-on lorsque l’on évoque la culture RSE ? Tout d’abord, il convient de repartager ce qu’est la RSE. C’est le fait d’intégrer dans ses différentes activités les enjeux environnementaux et sociaux et son impact sur ses différentes parties prenantes.

La culture, quant à elle, est plus complexe à définir. C’est un concept particulièrement mis sous les projecteurs, car il est devenu la clé de toutes les transformations dont les entreprises ont besoin en cette période d’incertitudes accélérées. Par souci de simplification, nous avons considéré que la culture pouvait tenir sur quatre piliers : les valeurs communes, l’histoire, la vision et les modes de fonctionnement de l’entreprise.

Mais nous pouvons toutefois nous attarder sur la définition issue d’études sociologiques et anthropologiques. La culture se définit alors comme un ensemble lié de manières de penser, de sentir et d’agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par une pluralité de personnes, servent, d’une manière à la fois objective et symbolique, à constituer ces personnes en une collectivité particulière et distincte.

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Cercle Santé

Comment améliorer la lutte contre la fraude dans le domaine de la santé ?

DOCASS
Interview

La fraude à l’assurance, présente depuis les origines du secteur, connaît une recrudescence exacerbée par une conjoncture économique difficile marquée par l’inflation et une croissance anémique. L’essor des nouvelles technologies et la démocratisation des outils informatiques facilitent également la prolifération des fraudes. La digitalisation et l’automatisation des processus, accélérées par la crise du Covid-19, ont contribué à cette tendance.

Dans le domaine de l’assurance santé, les dépenses ont augmenté de manière significative pour les organismes complémentaires en raison du rattrapage des soins post-Covid en 2022 et de la mise en œuvre du 100% santé sur des dispositifs coûteux tels que les soins dentaires, audiologiques et optiques. Ce contexte rend la lutte contre la fraude d’autant plus cruciale pour maîtriser les résultats techniques des assureurs. En effet, les enjeux financiers liésà la fraude à l’assurance santé sont considérables mais difficiles à évaluer précisément.

Les pratiques frauduleuses sont devenues polymorphes et sophistiquées, en lien avec l’écosystème de la santé et sa digitalisation. La fraude de masse se généralise, avec des professionnels utilisant les réseaux sociaux pour inciter à la fraude. Par ailleurs, la dématérialisation des relations assureur-assuré réduit le sentiment de transgression, notamment chez les jeunes générations.

La lutte contre la fraude s’organise à deux niveaux : au sein des entreprises d’assurance et à l’échelle du secteur. Les assureurs s’appuient sur l’expertise métier, la technologie et les collaborateurs pour détecter et traiter les suspicions de fraude. Toutefois, la lutte contre la fraude nécessite une forte coordination entre tous les acteurs, y compris les courtiers et les réseaux de soins, ainsi qu’une coopération avec le régime obligatoire.

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Cercle Juridique

Décryptage de l'actualité juridique et réglementaire

Interview

Pour cette nouvelle saison du Cercle juridique et conformité, les adhérents ont pu profiter d'une année de décryptages et d'analyses de la réglementation dans le secteur de l'assurance. Surtout, ils ont pu profiter des lumières de la Direction générale du Trésor et plus particulièrement de son sous-directeur des assurances, Martin Landais, parrain de la saison. Le caractère off des débats permet une liberté de ton sur les avancées des différents textes qui étaient en préparation entre septembre et juin dernier.

Le caractère oecuménique et transcode du Cercle offre par ailleurs une richesse de point de vue sur l'actualité juridique et offre des débats d'une richesse sans pareil. D'autant qu'ils ont été alimentés par les expertises de Pierre-Grégoire Marly, professeur agrégé de droit et Maud Vautrain, directrice conformité du groupe Covéa.

Lors de cette saison, nous avions demandé aux participants les sujets qu'ils souhaiteraient aborder au fil des réunions. Furent ainsi choisies, la RIS, Dora, les clauses d'exclusion ou encore la surveillance des réseaux de distribution. L'occasion de faire intervenir plusieurs personnalités pour alimenter les débats et ouvrir les discussions. Parmi eux figuraient le médiateur de l'assurance venu faire un point sur les clauses d'exclusion. Ou encore ProbeeCy présent au Cercle pour un décryptage du règlement Dora.

Le Cercle juridique et conformité est un lieu véritablement unique de partage entre pairs de tous horizons sur les problématiques réglementaires du secteur.

Découvrez la synthèse des travaux

Cercle Communication

L’enjeu du projet

Un jour sans assurance

Le secteur de l’assurance est abîmé par divers préjugés et stéréotypes. Parmi les plus tenaces, nous pouvons citer : le fameux profit au détriment des clients, les mystérieux frais cachés, la complexité excessive des contrats et leur manque de transparence.

Tout ceci provoquant méfiance et réticence des particuliers à se couvrir.

Ces préjugés, souvent amplifiés par des récits médiatiques lors de catastrophes naturelles par exemple, posent un défi significatif pour les compagnies d’assurance cherchant à établir une relation de confiance avec leurs clients.

Dans ce contexte, comment les jeunes talents peuvent-il s’intéresser au secteur ? Un secteur qui, par la même occasion, est vu comme vieillissant ! Autre cliché à déconstruire…

S’il est vrai que le plus ancien contrat d’assurance dont nous avons la trace a été souscrit en 1347, le secteur, lui, a connu de nombreuses évolutions et s’est adapté à son temps en voyant surgir de nouveaux produits. Risques climatiques, trottinettes électriques, animaux de compagnie… tout devient assurable !

Pour s’attaquer à ces divers préjugés, les membres de la promo 2024 du Cercle Communication ont imaginé un serious game permettant aux non-initiés de découvrir le secteur à travers des scénarios tout à fait loufoques, et aux professionnels du secteur de se former :

« Que se passerait-il si un matin, tous les assureurs avaient disparu ? »

Découvrez la synthèse des travaux

Édito

Décryptage de l'actualité juridique et réglementaire

Chères amies, chers amis du Cercle LAB,

Pour cette 6e édition, votre Badass s'adapte à la nouvelle stratégie du Cercle LAB, dont il se veut le véhicule fidèle et utile à tous. Il présente ainsi un condensé des recommandations concrètes émises par les nouveaux Cercles, ceci avant la publication en ligne des rapports complets ( dès le 12 septembre prochain). Il se complète également cette année d'un retour sur l'activité d'i3, notre pôle de recherche appliquée dédié à l'innovation opérationnelle avec ses 3 volets : Invention, Impulsion et Investissement.

Durant cette saison vous avez été nombreux, et particulièrement assidus, à contribuer à la dynamique collective des Cercles. Nous espérons que les travaux menés et les conclusions qui en émanent apporteront à notre profession de justes éléments de réflexion. Ceux-ci seront présentés et commentés comme tous les ans au Master Club 2024, à Gérone en septembre, qui verra aussi le lancement des thématiques 2024-2025.

Nous vous souhaitons une excellente lecture et vous donnons rendez-vous dès octobre dans les 10 Cercles prospectifs du Cercle LAB.

Gilles-Emmanuel Bernard

Président du Cercle LAB

Sébastien Jakobowski

Fondateur du groupe Seroni