Courtage : Cocoon fixe sa prochaine feuille de route
Dans le prolongement du plan stratégique 2028 de sa maison mère Adélaïde, le courtier digital Cocoon dévoile sa prochaine feuille de route avec plusieurs objectifs « de croissance forte et durable ».
Quelques semaines après la présentation du plan stratégique « Better Futur 2028 » d’Adélaïde, c’est au tour de Cocoon, le courtier digital du groupe familial, de dévoiler sa feuille de route. « Un an après l'arrivée de la nouvelle directrice générale, Fanny Ridet, Cocoon réaffirme un objectif de croissance forte et durable », explique le courtier dans un communiqué.
Le courtier, qui souhaite devenir le « partenaire des familles » en matière d'assurances santé et prévoyance, vise à doubler de taille d’ici 2028. Pour ce faire, Cocoon indique s’engager « à proposer des solutions accessibles et transparentes, commercialisées et gérées de manière qualitative et éthique, soutenant ainsi un modèle de développement responsable avec ses partenaires assureurs ».
Nouveaux partenariats
Cocoon – qui compte plus 50.000 bénéficiaires en portefeuille - prévoit ainsi plusieurs actions concrètes pour atteindre ses objectifs. D’abord, le courtier indique vouloir enrichir son catalogue d’offres santé / prévoyance et renforcer ses partenariats, notamment avec les assureurs Fidelidade et Generali.
En parallèle, le petit poucet d’Adélaïde repense et modernise son site internet avec une approche data-driven et une utilisation optimisée de la donnée qui permettra de personnaliser davantage ses services.
Le courtier surfe enfin depuis la rentrée sur une nouvelle campagne de communication visant à asseoir son positionnement familial, « avec un accent particulier sur les seniors et la grand-parentalité ».
Avec un chiffre d’affaires 2023 en baisse de 8% à 12,5M d’euros en 2023, notamment dû à un changement de stratégie vis-à-vis des comparateurs, Cocoon enregistrait des résultats techniques dégradés ces derniers mois. Lors des derniers résultats le groupe ne communiquait pas le résultat net de sa filiale digitale, pointant simplement que « sa rentabilité de bas de bilan s’améliore », expliquait Gilles Bénéplanc, le DGD du groupe. « Elle est bonne et nous permet de rester indépendants, ajoutait Benjamin Verlingue, PDG d’Adélaïde. Mais aussi de pouvoir faire des acquisitions ».
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