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Coronavirus : 50% des consommateurs prêts à épargner davantage

mercredi 1 juillet 2020
Image de Coronavirus : 50% des consommateurs prêts à épargner davantage

Selon la dernière étude Odoxa / FG2A / RTL sur les comportements de consommation après la crise sanitaire, 52% des concitoyens indiquent vouloir épargner davantage. 25% sont même prêts à s’assurer face à la perte d’emploi par exemple.

Alors que le déconfinement progressif est amorcé depuis plusieurs semaines, les habitudes de consommations après la vague du coronavirus ne seront plus les mêmes. C’est ce que révèle la dernière étude Odoxa, réalisée pour la FG2A (Fédération des garanties et assurances affinitaires) et RTL, qui indique que 7 Français sur 10 assurent avoir « peur » à cause de cette crise.

« Cette peur a déjà et aura encore des conséquences spectaculaires dans toutes les dimensions de la vie des consommateurs... non seulement en matière d’assurance, mais aussi de shopping, de logement, ou encore de vacances », fait remarquer Gaël Sliman, le président d’Odoxa.

Ainsi, on apprend par exemple que les Français craignent les conséquences du Covid sur leur santé (53%) ainsi que sur leur emploi ou leurs revenus (47%). Plus de la moitié des sondés indiquent donc qu’ils dépenseront moins et épargneront davantage. « Cette crainte pour l’avenir incite 52% de nos concitoyens à vouloir épargner encore plus et nombre d’entre eux (25%) à se dire prêts à souscrire des couvertures d’assurances afin de pouvoir amortir les risques économiques qu’ils anticipent pour eux-mêmes, et principalement la perte d'emploi », explique Patrick Raffort, président de la FG2A.

« Les assureurs vont devoir se pencher sur ces sujets car aujourd’hui, il est très difficile de souscrire des garanties chômage ou des garanties pertes de revenus […] Sans oublier tous les travailleurs non-salariés pour qui, il sera également nécessaire de rendre plus accessibles les assurances », ajoute Patrick Raffort qui précise que le coût des garanties sera certainement élevé, « mais la demande est aujourd’hui bien présente », conclut ce dernier.

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