CARTE INTERACTIVE - Le risque sécheresse est nettement moins spectaculaire que l’inondation ou les vents cycloniques. Pourtant, comme le montre la carte ci-dessus, une grande partie du territoire métropolitain est exposé.
Et chaque année, en moyenne, 1487 communes font l’objet d’un arrêté de reconnaissance de l’état de catastrophes naturelles pour le péril sécheresse selon les chiffres de CCR. En 2017, elles étaient 849 sur les 1422 reconnues en état de catastrophe naturelle, soit environ 60%, selon la base de données Gaspar.
« La sécheresse est un sujet beaucoup plus pernitieux que d’autres risques naturels, car elle ne se voit pas tout de suite. Mais quand elle produit ses effets, environ 18 mois après, l’impact est non négligeable sur la charge de sinistres », relève Nicolas Gomart, directeur général du Groupe Matmut.
En moyenne, chaque année, la charge de sinistre liée à la sécheresse s’établit à 362 millions d’euros, contre 533 millions d’euros pour l’inondation. Mais rapporté au nombre de territoires touchés chaque année, cela représente 240.000 euros par commune, contre 154.000 euros pour les inondations.
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