Couvrir les TNS : Une question de moments clés ?

lundi 26 juin 2017
Image de Couvrir les TNS : Une question de moments clés ?
[vc_row][vc_column][vc_cta h2="APRIL SANTE PREVOYANCE - APRIL ENTREPRISE PREVOYANCE "]Depuis 2 ans, APRIL aide les courtiers à prendre le temps du conseil avec à la clé un développement de leur portefeuille et cette année, APRIL a été élu 1er partenaire business sur le marché PRO/TPE*. https://april-on.fr/[/vc_cta][vc_column_text]

Réussir à couvrir les travailleurs non-salariés n’est pas qu’une question de réseau de distribution. Certains moments clés dans la vie d’une entreprise sont également à prendre en compte.

à l’instar des particuliers dont la vie sur les réseaux sociaux est passée au crible pour déterminer les moments propices à un démarchage commercial (mariage, déménagement, ...), la vie des entreprises recèle également de ces périodes clés. Ces dernières sont particulièrement étudiées. « Les TNS sont en effet des clients qui ont tendance à confier plusieurs contrats à leur assureur et à être plus fidèles que le particulier », confie un observateur.

« Dans les deux premières années, ils commencent généralement par se couvrir en santé, contre les accidents du travail et en responsabilité civile », explique ainsi Roger Mainguy, directeur général d’April Santé Prévoyance.

« Au bout de 2 ou 3 ans, les entreprises peuvent changer de taille. Leur développement peut ainsi passer par un déploiement à l’international. C’est à nous et leurs conseillers de les inviter à avoir une vision plus large de leurs couvertures. Mais assez naturellement, les chefs d’entreprise se posent la question de l’assurance quand leur entreprise grandit », poursuit Roger Mainguy.

Le rôle de l’intermédiaire devient alors crucial. « Le rôle du courtier est de faire un point, régulier, avec le TNS afin de vérifier l’adéquation de ses couvertures d’assurance », souligne Emmanuelle Criado, directrice générale d’April Entreprise. « Ce rôle de conseil sera encore plus renforcé avec l’entrée en vigueur de la Directive sur la distribution d’assurance (DDA) », ajoute Roger Mainguy.

Pour d’autres en revanche, la question de la couverture assurantielle intervient dans le cadre d’une simple relation commerciale. « Il arrive que des professionnels soient interpellés par leur client qui leur demandent quels sont leur niveau de garantie en responsabilité civile professionnelle avant de leur confier un marché, notamment dans les métiers du conseil et de l’informatique », illustre Emmanuelle Criado.

Enfin, dans certains cas, le moment clé concernant la responsabilité civile professionnelle, se situe en amont de leur installation, pendant leurs études. Les professions réglementées comme les notaires, les pharmaciens ou encore les huissiers de justice, ont en effet l’obligation de se couvrir en RCP. « Les professionnels de la santé sont au fait de leurs obligations légales avant même de sortir de l’école », selon Emmanuel Criado.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row]

Contenus suggérés